Basse Normandie : quoi voir pendant un week end ou les vacances ?

Basse Normandie – Contempler les nymphéas dans les jardins de Monet à  Giverny. Remonter le temps à  travers la visite époustouflante des abbayes quasi millénaires, le long de la vallée de la Seine. Découvrir l’urbanisme moderne d’Auguste Perret au Havre. Admirer les falaises d’Étretat. Se constituer un pique-nique au marché d’Honfleur et le déguster sur la plage. Assister au festival du cinéma américain de Deauville. Assister à  la fabrication du livarot dans une fromagerie à  Livarot. S’offrir les huîtres de Saint-Vaast-la-Hougue pour croquer la mer à  pleines dents, et les merveilles continuent voici les incontournables de la Normandie.

Basse Normandie : Lisieux

Actuelle « capitale » du pays d’Auge, Lisieux fut bombardée à  treize reprises lors de la Libération. La cathédrale Saint-Pierre et la basilique furent épargnés, ce qui renforça le potentiel touristique religieux de Lisieux porté surtout par sa star locale, Thérèse !

Basse normandie : Quoi voir pendant un week end ou des vacances en Normandie ?

Mont-Saint-Michel

L’histoire du Mont-Saint-Michel est née de l’apparition de l’archange saint Michel ordonnant à  Aubert, évêque d’Avranches, la construction d’un oratoire. Les pèlerins affluèrent et la chapelle devint abbaye. On doit la réalisation du Mont-Saint-Michel à  des moines bénédictins de Saint-Wandrille. Plus de 3 millions de visiteurs chaque année font du Mont-Saint-Michel l’un des sites, situé en Normandie, les plus fréquentés de France. Mais à  l’origine, le Mont était bien breton.

Les Andelys

Les Andelys campent dans l’un des plus beaux sites de la vallée de la Seine, célèbre pour son château fort surplombant la boucle du fleuve, les falaises de craie encadrées de bois, les rives verdoyantes et la forêt de vieux toits du village. La ville est scindée en deux : Le Petit-Andely au bord de la Seine, protégé par les ruines de Château-Gaillard, et Le Grand-Andely, à  l’intérieur des terres.

Honfleur

Le plus mignon, le plus fou, le plus choucard des petits ports normands… pour ne pas dire français. Depuis le XIXe siècle, Honfleur fut le lieu d’élection des écrivains, des musiciens et des peintres séduits par l’atmosphère changeante de l’embouchure de la Seine et par la verdure de la campagne augeronne. Honfleur, une cité à  deux visages, la semaine avec ses pêcheurs et le week-end ou pendant les vacances avec ses touristes

Giverny

Giverny, un charmant village s’étageant sur une douce colline en bordure de Seine. Monet contribua fortement à  sa gloire lorsqu’il choisit d’y vivre de 1883 jusqu’à  sa mort, en 1926. Il repose d’ailleurs dans le cimetière paroissial. Aujourd’hui, outre sa maison et ses jardins, on peut également aller voir de belles expositions temporaires organisées par le musée des Impressionnistes-Giverny (ex-musée d’Art américain).

Granville

Troisième ville du département, Granville est l’un des poumons économiques de la Manche. Une partie de Granville s’étire sur un promontoire rocheux et offre une promenade de bord de mer sur fond de vieilles demeures de granit.

Deauville

Deauville doit son succès à  sa magnifique plage bordée par ses célèbres planches ainsi qu’à  son casino royal, ses palaces, ses villas et son champ de course. Considérée comme un quasi-faubourg parisien, Deauville est fréquenté par une population fortunée, élément majeur de son identité.

Étretat

L’image d’Étretat avec sa falaise de craie plongeant dans la mer est connue dans le monde entier. Ce site et sa plage de galets inspirèrent de nombreux peintres comme Boudin, Monet, Courbet et plus tard Matisse Étretat présente aussi une collection de villas de la Belle Epoque dont la villa d’Orphée, le Clos Arsène Lupin et La Guillette.

Caen

Capitale de la Basse-Normandie, Caen est une étape incontournable pour qui visite la région. Ville martyre au coeur de la sanglante bataille de Normandie, la vieille cité conserve néanmoins des témoignages de son glorieux passé, du temps de Guillaume le Conquérant. L’incroyable Mémorial de Caen nous rappelle fort à  propos que le meilleur moyen de ne pas revivre la guerre reste encore de consolider la paix.

Cherbourg-Octeville

Cherbourg-Octeville (résultant de la fusion des villes de Cherbourg et Octeville en 2000) est le port français couvrant le plus d’activités : port militaire, port de commerce, port de pêche, port de voyageurs (avec les îles britanniques) et port de plaisance (le second de France, après Cannes !). La rade artificielle de Cherbourg est la plus grande du monde. Ne pas manquer le musée d’art Thomas-Henry et la Cité de la Mer.

Alençon

Alençon résonne aux noms de la dentelle, du « point d’Alençon » et de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Alençon accueille de nombreux spectacles, étoffe son pôle universitaire, élargit ses espaces verts, peaufine la restauration de ses quartiers et bénéficie d’une situation géographique qui la place à  une heure de la mer et à  quelques encablures de forêts. Granit et toitures d’ardoise rappellent que l’on est sur la vieille route de Paris à  la Bretagne.

Bayeux

Bayeux n’a pas trop souffert des destructions de la guerre et sa vieille ville est bien préservée. Elle attire beaucoup de touristes, ne serait-ce que pour sa fameuse tapisserie (en fait une broderie) et sa fastueuse cathédrale. Mais vous découvrirez aussi des vieilles maisons et de superbes hôtels particuliers ainsi qu’un passionnant musée consacré à  la bataille de Normandie.

Plages du Débarquement

Les plages du Débarquement sont connues pour leurs dizaines de kilomètres de plages de sable clair, leurs falaises de craie et surtout pour les centaines de blockhaus, casemates et autres batteries jalonnant ce site. La mer a depuis longtemps léché les traces des champs de bataille des plages du Débarquement mais les dizaines de milliers de tombes de soldats entretiendront à  jamais le devoir de mémoire.

Rouen

Malgré les bombardements et les incendies qui la défigurèrent, malgré le développement industriel, la vieille cité de Rouen reste l’une des plus belles villes de France. Ville martyre durant l’Occupation, Rouen a fidèlement restauré les témoins de son glorieux passé, laissant à  la rive gauche l’essentiel des installations liées à  son développement industriel. La flèche de son incomparable cathédrale, ses vieux quartiers et ses 2 000 maisons à  pans de bois ne vous décevront pas.

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